vendredi 12 octobre 2012

Goya

Rubrique: Légumes, Légumes
Forcenés du Campari-pamplemousse, les Doudes vous ont déniché le Saint Graal ! Le goya, un légume qui fait vriller les papilles de tous les amateurs de saveur amère, de l’Inde au Japon. Qui plus est, le goya pourrait renfermer des trésors de bienfaits à même de vous prolonger la vie… Qui dit mieux ?

À première vue, le goya (Momordica charantia) est un concombre atteint d’une vilaine poussée de verrues. Également appelé concombre amer ou margoze (à la Réunion), le goya (son nom japonais) est un légume des tropiques. Il pousse du Pakistan au sud du Japon, en passant par l’Asie du Sud-Est et le sud de la Chine. Il est également cultivé dans les Antilles et en Afrique.
Le goya fait partie de l’arsenal de la médecine traditionnelle indienne et asiatique, en particulier contre le diabète. De nombreuses études scientifiques sérieuses ont été menées avec des extraits de goya, qui contiennent diverses substances aux jolis noms : momordicine, cucurbitacine ou charantine, par exemple. Eh bien figurez-vous que, dans le diabète de type 2 (celui des personnes âgées), les extraits de goya ont fait aussi bien que certains des médicaments destinés à traiter cette maladie ! Le goya a également été largement vanté dans le traitement des cancers et du VIH/sida, mais là, les études n’ont jamais rien montré.
Le goya est le comble de l’amertume. Il doit être consommé encore vert (il en existe une variété indienne vert pâle et moins amère, comme sur la photo) et forcément cuit, sous peine de vous révulser l’estomac. Ses graines et leurs enveloppes sont la partie la plus amère et doivent être éliminées. Pour en diminuer l’amertume, on peut le blanchir quelques minutes, mais franchement, pourquoi manger du concombre amer alors, hein ?
Le goya est le plus souvent sauté avec de la viande ou du poisson. Il peut également être cuit à la vapeur ou préparé en curry, un peu comme les chayottes. Les Japonais le proposent également… en boisson gazeuse ! À Paris, on en trouve facilement dans les supermarchés antillais, asiatiques ou indiens (sous les noms de karela ou de paahkarkaai).
Pour illustrer cette note, les Doudes vous proposent la recette du goya champuru, la spécialité absolue de l’île d’Okinawa, au sud du Japon. Là où il y a le plus de centenaires au monde et où les habitants consomment le plus de goya par tête d’Okinawéen. Un hasard, une coïncidence, une preuve ? Tous à vos woks !
Goya champuru
Pour deux personnes
  • 1 gros goya
  • 1 tofu frais
  • 1 petite tranche de thon ou un blanc de poulet
  • 3 œufs battus
  • ½ oignon haché
  • 2 gousses d’ail hachées
  • Sauce soja, mirin, huile d’olive, poivre, sel
Lavez le goya. Coupez-le en long et enlevez les graines. Grattez doucement l’intérieur avec une cuillère pour enlever la membrane qui renfermait les graines. Tranchez-le finement et salez-le en mélangeant à la main jusqu’à ce que le sel recouvre bien les tranches (pour diminuer l’amertume). Mettez les tranches dans de l’eau froide et laissez tremper 15 à 30 minutes. Rincez bien et laissez égoutter.
Coupez le thon ou le poulet en petits dés. À feu vif, faites sauter l’oignon et l’ail puis ajoutez les tranches de goya et le thon (poulet). Quand le goya est tendre, émiettez doucement le tofu et ajoutez la sauce soja, le mirin (une sorte de saké de cuisine un peu sucré) et le poivre pour obtenir l’assaisonnement qui vous convient. Ajoutez les œufs battus et mélangez jusqu’à ce que les œufs recouvrent bien les autres ingrédients, mais ne laissez pas trop cuire pour que le plat ne soit pas sec (comme vous le feriez pour une omelette).

Source:  http://www.lefestindedoudette.fr/recettes/legumes/goya-4581

Clostridium difficile

Clostridium difficile

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Aide à la lecture d'une taxobox Clostridium difficile
 Clostridium difficile
Clostridium difficile
Classification
Règne Bacteria
Division Firmicutes
Classe Clostridia
Ordre Clostridiales
Famille Clostridiaceae
Genre Clostridium
Nom binominal
Clostridium difficile
Hall & O’Toole, 1935
Clostridium difficile est une espèce de bactéries du genre Clostridium. Il s’agit de bacilles gram positifs, anaérobies strictes et sporulés. Clostridium difficile est le principal agent étiologique de la diarrhée nosocomiale chez les patients sous antibiothérapie.

Sommaire

Historique

Clostridium difficile fut décrit en 1935 par Hall et O’Toole1, qui lui attribuèrent ce nom de difficile en raison des grandes difficultés qu’ils éprouvèrent à l’isoler et de sa croissance très lente en milieu de culture.
La pseudo-colite ulcéro-membraneuse a été décrite vers 1974 pour la première fois. D’abord attribuée aux staphylocoques, la responsabilité du clostridium est établie à partir de 19782,3.

Épidémiologie

Son incidence a pratiquement triplé aux États-Unis en une décennie. Elle est estimée à 84 pour 100 0004. Sa sévérité tend également à s’accroître avec une mortalité qui augmente4.
L’endémie évolue parfois en poussées épidémiques, l’une des plus notables étant celle de 2003 au Canada avec un quadruplement des cas5.

Bactériologie

On retrouve des spores du Clostridium difficile dans le sol, dans les hôpitaux et dans les foyers pour personnes âgées. La forme active de la bactérie ne se retrouve qu’au niveau intestinal. Au microscope, après coloration de Gram, ce sont des bacilles allongées avec une extrémité légèrement renflée. Le germe lui-même est gram positif mais sa spore est gram négatif. Sa culture est optimale dans un milieu à base d’agar-agar à 37 °C. Lorsque les conditions deviennent difficiles, la bactérie produit alors des spores pouvant survivre dans ces cas.
Clostridium difficile est un germe de la flore commensale digestive (c’est-à-dire, qu’il y est retrouvé de manière courante, sans que cela soit anormal). Il est résistant à la plupart des antibiotiques et en cas de perturbation de la flore digestive par l’administration de ces derniers, il peut alors se développer de façon importante.
Une nouvelle souche, appelée BI, NAP1, ou ribotype 027, est apparue depuis 2003, causant des infections plus sévères (probablement en raison d’une production plus importante de toxines) et plus récidivantes6.

Physiopathologie

Clostridium difficile se développe dans une flore intestinale affaiblie par l’antibiothérapie et secrète deux toxines, A et B. La première, une entérotoxine, provoque l’altération de la perméabilité de l’épithélium intestinal ; la seconde, une cytotoxine, s’attaque directement aux cellules de l’épithélium. L’effet combiné des deux toxines est la diminution du temps de transit intestinal et de l’absorption intestinale, ce qui résulte en une diarrhée.

Mécanismes de transmission

La transmission se fait de manière oro-fécale. L’antibiothérapie, l’âge avancé du patient, l’immunodépression sont tous des facteurs précipitants de l’infection. La forme sporulée permet au germe de persister longtemps dans le milieu extérieur sur à peu près n’importe quelle surface. Une fois la spore ingérée, elle passe sans encombre l’estomac, résistant à l’acidité locale, et se transforme en bactérie active, se multipliant dans le côlon.

Importance en pathologie humaine

Il est le principal agent responsable de la diarrhée secondaire à l’administration d’antibiotiques (clindamycine et ampicillines dans les années 1970, essentiellement céphalosporines depuis), redoutable en raison de son potentiel de contagion très élevé. Bien qu’environ 5 % de la population soient porteurs asymptomatiques (c’est-à-dire ne se plaignant de rien) de la bactérie, ses manifestations sont étroitement reliées à un séjour à l’hôpital. L’usage judicieux d’antibiotiques et le respect strict des mesures de prévention et d’hygiène (dont principalement l’hygiène des mains) demeurent les principaux moyens de lutte contre le germe.

Manifestations cliniques

La diarrhée (définie généralement comme l’excrétion d’au moins trois selles liquides en 24 heures) est la manifestation la plus commune de l’infection. Les selles sont habituellement très abondantes et présentent une odeur caractéristique. L’infection à Clostridium doit être d’autant plus suspectée si le patient a reçu une antibiothérapie à spectre large (céphalosporines ou clindamycine en particulier). La colite pseudo-membraneuse est la forme la plus sévère de la maladie qui est accompagnée d’une diarrhée très importante, de crampes abdominales, de fièvre et d’hyperleucocytose. Cette forme de la maladie peut évoluer vers un mégacôlon toxique, une urgence chirurgicale pouvant devenir fatale. En effet, en cas de perforation du côlon, une péritonite s’installe et nécessite une intervention chirurgicale urgente par laparotomie.

Méthodes diagnostiques

Le diagnostic repose sur l’impression clinique et la détection, par diverses méthodes, de toxines dans les selles du patient. De façon tout à fait exceptionnelle, on effectuera une coloscopie. Le scanner abdominal peut montrer un épaississement du côlon, avec parfois des nodules, une ascite.
La recherche du clostridium dans les selles est faite, les résultats sont donnés en moins de 24 heures, solution moins douloureuse que la coloscopie.
De plus, le patient peut être un porteur sain du germe (ne présentant pas de signe de la maladie) dans près de 10 à 30 % des cas hospitaliers7.

Moyens de lutte contre ce micro-organisme

Le traitement s’articule autour de trois axes principaux :
  1. si possible, arrêt de l’antibiothérapie ;
  2. administration orale de métronidazole (ou, dans certains cas, de vancomycine) ;
  3. interdiction d’antipéristaltiques anti-diarrhéique tels le lopéramide, pouvant aggraver paradoxalement l’infection.
Le taux de souches résistante à la métronidazole augmente et peut atteindre près de 25 % des cas8.
Une réhydratation doit être faite, si besoin par voie intraveineuse. La cholestyramine a été proposée, afin de fixer les toxines.
La lutte contre la diffusion de Clostridium difficile prévoit différentes mesures préventives dont une hygiène des mains renforcée, un entretien des locaux scrupuleux ainsi qu’isolement septique des patients infectés. En prévention de transmission nosocomiale manuportée de Clostridium difficile, différentes conférences de consensus recommandent le lavage des mains à l’aide d’un savon doux puis l’utilisation de la solution hydro-alcoolique en friction après contact avec le patient. L’eau de Javel est recommandée pour l’entretien des locaux et de l’environnement du patient9.
L’attitude vis-à-vis d’un porteur sain de clostridium reste controversé. On sait qu’environ 4 % de la population humaine porte le clostridium difficile parmi sa flore intestinale (et près de cinq fois plus chez le patient hospitalisé) ; il est donc difficile de savoir si un individu chez qui on détecte la bactérie a été contaminé à l’hôpital ou non. Le phénomène des porteurs sains fait également en sorte qu’il est possible pour certaines personnes de développer une colite à Clostridium difficile (lors d’une antibiothérapie) simplement à partir de leur flore intestinale, et donc malgré les meilleurs mesures d’hygiène possibles.
Dans les cas graves, une colectomie (intervention chirurgicale permettant l’ablation du gros intestin) peut s’avérer nécessaire, afin d’éviter une perforation du côlon qui peut être fatale. La résistance du clostridium au métronidazole ou à la vancomycine reste pour l’instant rare.
L’évolution habituelle se fait vers la guérison en quelques jours mais des rechutes sont possibles, concernant un cinquième des cas4, parfois de manière tardive. Ces rechutes sont d’autant plus fréquentes si l’infection concerne la souche B1 identifiée en 2003.
Une thérapie nouvelle, la bactériothérapie fécale est testée avec succès depuis quelques années10, mais manque encore de recul temporel et d'études statistiques à grande échelle pour garantir toute absence de risques.

Source:  http://fr.wikipedia.org/wiki/Clostridium_difficile

lundi 13 août 2012

Disparition du Tic Tox

Disparition du Tic Tox

Alors que l’Afssap (agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) est secouée par plusieurs scandales concernant notamment l’affaire Médiator et certains de certains dirigeants, elle trouve encore le moyen de priver les malades d’un des rares remèdes efficaces contre la maladie de Lyme (Borreliose). Or cette maladie tend à se développer énormément ces dernières années et les antibiotiques comme traitement n’ont qu’une efficacité très limitée sur la bactérie responsable (la borrelia). Or jusqu’ici, le Tic Tox constituait un excellent traitement complémentaire à cette antibiothérapie.
j0438657 - copieQue faire maintenant ? Une solution consiste à prendre des huiles essentielles (à la suite des antibiotiques). Le Tic Tox étant composé d’huiles essentielles de sarriette, de girofle et camomille sauvage, il est toujours possible de reconstituer cette préparation ou de prendre d’autres huiles ayant des vertus antibactériennes comme Thymus vulgaris, Melaleuca alternifolia, Mentha piperata, Cinnamomum verum, Origanum compactum…
La prise de magnésium (voire du chlorure de magnésium) et de vitamine C (acérola) complétera très bien ce traitement.
Enfin, dans les cas résistants ou plus difficiles, il faudra recourir à la micro-immunothérapie[1]
Luc BODIN


[1]          voir le site www.3idi.org

Posté par bodinluc à 07:07 -
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15 janvier 2011

Traitements de la maladie de Lyme

La maladie de Lyme sévit dans certaines régions. Le traitement conventionnel avec les antibiotiques et les anti-inflammatoires, est efficace surtout au début de la maladie. Autrement, les traitements naturels, notamment avec les plantes (Tic-Tox) et la citrabiase, seront très efficaces pour se débarrasser définitivement de cette difficile maladie qui passe facilement à la chronicité.


 Le traitement conventionnel de la maladie de Lyme consistera en :
1. Une antibiothérapie essentiellement (amoxicilline ou doxycycline, voire plus rarement azithromycine), car la maladie est due à une bactérie. La durée du traitement (21 à 30 jours généralement , jusqu’à 2 mois dans certains cas) et le dosage (souvent moyennes ou fortes) dépendront de l’ancienneté et de la gravité de la maladie. Il faudra penser à prendre des protecteurs hépatiques (romarin, artichaut…) et des probiotiques (pour protéger la flore intestinale) pendant cette période. Le traitement antibiotique sera d’autant plus efficace qu’il est pris tôt. Après quelques mois, les germes sont tapis dans l’organisme et les antibiothérapies prescrites alors auront un résultat bien moindre.

2. Les anti-inflammatoires (AINS ou cortisone) ne seront jamais donnés seuls car le risque d’enkystement des bactéries est grand. Par contre, selon les cas, ils seront prescrits en association avec l’antibiothérapie pour soulager les arthrites (infiltrations quelquefois) et les autres inflammations induits par la maladie.
medicaments divers
Cependant, ce traitement n’arrive pas à guérir tous les cas de maladie de Lyme, surtout lorsqu’elle est diagnostiquée tardivement. Car la bactérie demeure souvent tapies dans des sites difficilement accessibles aux antibiotiques, comme dans des sites enkystés, les hématies et les lymphocytes... Et elle pourra ressortir ultérieurement et induire sournoisement de nouvelles pathologies comme celles évoquées dans la phase tertiaire.

Les traitements naturels
pourront aider à tous les stades de la maladie. Ils seront associés aux traitements modernes ou bien, seront pris lorsque ceux-ci auront échoué.
   
Il faudra commencer par limiter la consommation de sucreries, des laitages et des graisses cuites qui affaiblissent le système immunitaire. Une alimentation riche en crudités, fruits, légumes, poissons (oméga 3) et huiles végétales (olive, colza, noix) sera bénéfique pour l’équilibre acido-basique du corps, les défenses immunitaires et le drainage digestif.


Nous le compléterons avec :

1. Le Tic-Tox (Sariette, girofle, camomille sauvage) est utilisé lors de la piqûre de la tique. Mais ce produit peut aussi être utilisé ultérieurement pour détruire la bactérie : 5 gouttes dans un verre d’eau à prendre trois par jour au cours des repas pendant 3 à 4 mois au minimum. Ce traitement peut être à renouveler quelques mois plus tard si nécessaire. Il faut aussi savoir que la destruction des borrelia, va libérer beaucoup de toxines, ce qui explique les possibles aggravations des signes pendant els premières semaines du traitements.
plantes infusion

 2. Il est intéressant d’y adjoindre des alcalinisants comme la Citrabase, surtout lorsqu’il y a une acidose urinaire (visible sur des bandelettes urinaires réactives) à raison de 4 gélules aux trois repas pendant 2 à 3 jours, puis avec 1 à 2 gélules trois fois par jour pendant 2 à 3 jours, pour stabiliser l’alcalose.  Car la mise en alcalose de l’organisme permettra une meilleure efficacité du traitement par Tic-Tox.  L’association Tic-Tox Citrabase serait efficace dans 90% des cas.

 3. D’autres traitements naturels seront actifs sur les toxines secrétées par la borrelia. Ce sont :
         - la griffe du chat (uncaria tomentosa) : 2 gélules trois par jour, utilisée aux USA. Elle a aussi un effet immunostimulant.
         - la racine de Cardère (dipsacus silvestris) : 5 gouttes trois fois par jour, utilisée en Allemagne, mes résultats sont également inconstants.
         - l’huile essentielle de cyste rose.

 4. Les autres traitements intéressants :
a. Homéopathie, on conseille : Borrelia 200K, 1000K puis 10.000K  (disponible en Allemagne et Belgique): 1 dose tous les 20 jours en augmentant les dilutions avec Cuprum metallicum 5CH : 3 granules/j.
b. Plantes pour relancer l’immunité générale : echinacéa purpurea TM (50 gouttes matin et soir) mais aussi : maitaké, ginseng…
c. Plantes pour lutter contre l’inflammation (les douleurs): Ribes nigrum (BGMD1 : 50 gouttes matin et soir) surtout.
d. Plantes draînantes pour le foie et les reins : Taraxacum, Raphanus, Chelidonium, Berberis… qui ont un rôle important pour nettoyer l’organisme des toxines de la brellia et remonter l’état général.
e. Plantes détoxifiantes: Ail, Ail d’ours, Chlorella, Aloé véra, Chardon Marie, Poconéol 1+5+7 (15 gouttes de chaque/jour pendant 3 semaines) pour nettoyer l’organisme des métaux lourds et autres toxines présentes et aggravant la situation.
f. Oligoéléments : Granion Cuivre (1 ampoule le matin) et Or (1 ampoule le soir) pour lutter contre la bactérie et l’inflammation. Le complexe Oligosol Cuivre-or-argent (1 dose le matin) sera utilisé dans les infections chroniques. Ne pas donner de zinc, qui pourrait favoriser la multiplication des bactéries.
g. Huiles essentielles efficaces contre les bactéries comme Thymus vulgaris, Melaleuca alternifolia, Mentha piperata, Cinnamomum verum, Origanum compactum, Ajowan, Cymbopogon martinii… que l’on peut prendre en mélange ou en individuel (2 gouttes à boire ou sur la peau, matin et soir). Si on a la chance de retrouver la bactérie dans le sang, il est alors possible d’effectuer un aromatogramme qui recherchera les HE efficaces contre elle.
h. Magnésium toujours utile pour relancer l’immunité et lutter contre la fatigue, avec la vitamine C (acérola naturelle 3 à 4 gr/ à prendre surtout le matin et le midi). Les autres antioxydants seront à éviter comme toujours lors d’une infections, car le système immunitaire utilise des radicaux libres pour détruire les bactéries. Aussi, une prise d’antioxydants risquerait d’amoindrir les défenses au profit des bactéries.
food fruit orange

5. La micro-immunothérapie: La borellia est capable de se cacher dans l’organisme, laissant passer les antibiothérapies, pour revenir de manière torpide et inapparente. Les bactéries se multiplient, mais le système immunitaire n’est pas assez puissant pour s’en débarrasser. Une guerre d’usure se développe alors pendant des mois voire des années. Elle va épuiser les défenses immunitaires ainsi que l’organisme engendrant un état de fatigue chronique.


Nous avons vu que les traitements, quelqu’ils soient, ont des difficultés à atteindre et à détruire toutes bactéries tapies dans l’organisme. La meilleure solution est donc de relancer l’immunité. Les traitements généraux déjà évoqués comme l’echinaccea ou le maïtaké sont intéressants, mais non spécifiques. La micro-immunothérapie, quant à elle, proposera un traitement spécifique contre la bactérie à l’aide de prostaglandines, interféron, interleukines, etc. prescrites à doses infinitésimales. Ce traitement ciblé sera capable d’atteindre les bactéries ; mais aussi après quelques mois, de lever le blocage immunitaire engendrer par l’infection et ainsi de relancer les défenses. Ce traitement pertinent permet de se débarrasser de la borrelia et surtout d’éviter l’évolution de la maladie vers la sclérose en plaques, la fibromyalgie, la spondylarthrite, etc. 
Mais allant plus loin, lorsque ces maladies graves sont présentes, il faudra penser systématiquement à faire une sérologie de Lyme. Car si elle est positive, cela signifie qu’une borreliose chronique est présente et qu’elle peut être cause de cette maladie. La micro-immunothérapie pourra apporter une amélioration importante à l’état de la personne.

Pour bénéficier de ce traitement, il suffit de consulter un médecin connaissant cette thérapie (Pour avoir l’adresse d’un praticien proche de votre domicile demander à l’Institut 3 IDI : 6, rue Fortuné Parenteau, 85700 Pouzauges, tél : 02 51 57 53 60, fax :  02 51 91 39 68). Il demandera un bilan sanguin : sérologie de Lyme (voire également d’autres germes possibles) et typage lymphocytaire (pour connaître la situation de votre système immunitaire). A partir de là, il saura si une borreliose chronique ou réactivée est présente chez vous, et selon l’état de vos défenses, il prescrira le traitement adapté pendant quelques mois. Un nouveau bilan sanguin permettra alors de savoir si le germe a disparu ou si il faut poursuivre ou modifier le traitement selon l’évolution. Il s’agit ici d’une thérapie très performante, indiquée dans les cas résistants aux traitements, difficiles, chroniques, persistants ou récidivants.
Labo recherche (3)

6. Les traitements par fréquence. Il sera indiqué lorsque le traitement Tic-Tox et Citrabase n’aura pas été suffisant pour éliminer complètement la borreliose. Il permet de faire ressortir les germes cachés et de les rendre ainsi vulnérables à la reprise du traitement .
    Enfin, comme si cette maladie n’était pas encore assez compliquée, il faut savoir que la maladie de Lyme ne procure pas d’immunité définitive. Il est donc possible d’être de nouveau infecté, ce qui obscurcit encore la situation : est-ce une séquelle d’une ancienne maladie ? ou bien est-ce une nouvelle maladie débutante ? Quoiqu’il en soit la borreliose chronique est beaucoup plus fréquente qu’on ne le pense. Elle est aussi très probablement, une des causes des nombreuses maladies graves et chroniques qui se développent actuellement dans notre pays.
Dr Luc Bodin
PS: Tic-Tox, Citrabase, cardère, griffe du chat, sont en vente dans le laboratoire Nutrivital : 4 rue Foch – 67450 Mundolsheim - tél : 03 88 069 11 33

Les signes de la maladie de Lyme

La maladie de Lyme est une maladie pernicieuse et mal connue du public comme des médecins. Ses multiples aspects en perturbent le diagnostic, d’autant que les examens biologiques sont souvent faussement normaux. Par ailleurs, les traitements modernes sont d’une efficacité que très relative. Tout cela concoure à laisser évoluer cette maladie silencieusement, ce qui finira par induire des maladies graves semblables à la fibromyalgie, la sclérose en plaques, la polyarthrite rhumatoïde, la fatigue chronique, etc…
La maladie de Lyme fut autrefois appelée « érythème chronique migrant de Lipschutz » ou « méningo-radiculite de Garin et Bujadoux ». Sous ces différentes dénominations, elle fut décrite au début du XXème siècle puis… oubliée. Il a fallu attendre 1975 pour que la maladie soit à nouveau, mise en évidence et définie à la suite d’une épidémie d’arthrites inflammatoires infantiles à Old Lyme dans le Connecticut aux Etats-unis.

Cette infection est due à une bactérie, la Borrelia Burgdorferi, d’où le nom qu’on lui donne de temps en temps de « borréliose » ou « borréliose de Lyme ». Le réservoir de la borrelia est constitué principalement par les petits mammifères et sans doute également les oiseaux. Ce microbe est transmis ensuite à l’homme par les piqûres de tiques contaminées que l’on retrouve principalement dans les forêts ou du moins dans le milieu rural pendant les périodes de plus forte chaleur, de mai à octobre. La maladie de Lyme est une maladie professionnelle pour les personnes effectuant des travaux forestiers.
nature
Elle sévit surtout dans l’hémisphère nord. En Europe, elle est fréquente en Allemagne, Autriche, Suisse et Europe de l’est. En France on la retrouve dans l’est et surtout en Alsace où l’incidence y est 2 à 4 fois supérieure à la moyenne nationale. Sa prévalence est de 15.000 cas par an aux USA et 50.000 en Europe dont 5.500 en France. Mais la grande méconnaissance de cette maladie, fait qu’elle est largement sous-évaluée. Certains auteurs parlent de 100.000 nouveaux cas par an en Allemagne et plusieurs centaines de milles aux USA… et que 15,5% de la population mondiale serait touchée.. soit un milliard de personnes.

Il a existé un vaccin contre la maladie de Lyme, mais il a été rapidement abandonné car il présentait trop d’effets secondaires.

Le diagnostic de la maladie n’est pas toujours aisé, à cause de sa mauvaise connaissance par les malades comme par les médecins, mais aussi des très nombreux aspects qu’elle peut présenter. De plus, un nombre important de personnes ne se souviennent d’aucune morsure de tique, ce qui rend le diagnostic encore plus difficile. Il est d’ailleurs possible la maladie soit transmise par d’autres voies que la piqûre de tique comme la transfusion, la grossesse, les piqûres de moustique, d’araignée ou autres…
docteur stétoscope
La maladie évolue classiquement en trois phases, mais ce n’est pas toujours aussi évident. Une phase peut manquer ou passer inaperçue. Et les différents symptômes peuvent quelquefois se trouver mélanger… Tout cela rendant le tableau pas toujours évocateur de la maladie de Lyme.  Quoiqu’il en soit, on distingue : 

 1. La phase primaire, précoce localisée est limitée au point d’inoculation. Elle n’est pas obligatoire. Et à ce stade la guérison spontanée est quelquefois possible. Les signes se caractérisent par la survenue d’un érythème (rougeur) cuisant, grossièrement circulaire et centré sur la piqûre de la tique. Il peut dépasser 5cm de diamètre (jusqu’à plusieurs dizaines de centimètres). C’est l’ « érythème chronique migrant » de Lipschutz. Il survient de 3 à 30 jours après la piqûre. Puis, dans la 2ème semaine de son apparition, il pâlit en son centre. Dans tous les cas, il disparaît au bout de quelques jours à quelques semaines. On le retrouve surtout sur les membres inférieurs. Cette phase s’accompagne souvent d’un état fébrile avec frissons, courbatures, douleurs articulaires, voire maux de tête. Les prises de sang n’apportent pas d’information particulière à ce stade.
émotion douleur tête (2)
 2. La phase secondaire, précoce disséminée, correspond à la dissémination de la bactérie dans l’ensemble du corps. Elle débute quelques semaines à quelques mois plus tard. Une guérison spontanée est encore possible. Nous retrouvons ici :
i. Des signes cutanés : souvent semblables à l’érythème chronique de la 1ère phase, ou sous forme de nodule situé au niveau du pavillon d’une oreille ou d’un mamelon.
ii. Des signes neurologiques : méningites, névrites (inflammation des nerfs) souvent très douloureuses avec des maux de tête et une sensibilité cutanée exacerbée.
iii. Des signes rhumatologiques : atteintes de plusieurs articulations, dont souvent le genou, qui deviennent enflées, chaudes, rouges et douloureuses. Ce rhumatisme évolue par poussées espacées de période de rémission d’environ un mois.
iv. D’autres organes peuvent être atteints comme le cœur (myocardite, trouble du rythme), les poumons (essoufflement), les yeux, etc..
coeur
 3. La phase tertiaire, tardive, survient des mois, voire des années après l’infection. Elle se remarque par
i. Des manifestations neurologiques, lésions démyélinisantes proches de la sclérose en plaque.

ii. Des signes rhumatologiques présentant des signes proches de la polyarthrite rhumatoïde.

iii. Des signes dermatologiques : plaques violacées évoluant vers la sclérose associée à des arthrites et des neuropathies.
De nombreux auteurs ont vu dans la borrelia, lorsqu’elle évolue vers cette phase tertiaire, une cause possible (voire fréquente) de ces maladies difficiles que sont la fibromyalgie, la sclérose en plaques, la polyarthrite rhumatoïde, la SLA, la fatigue chronique, la spondylarthrite ankylosante… voire les dépressions sévères, les migraines, la maladie d’Alzheimer…

Car la borrelia évoluant de manière chronique, finit par perturber gravement, voire bloquer le système immunitaire de la personne ce qui lui induira une fatigue chronique. Par ailleurs la flagelline, une protéine contenue dans les flagelles de la borrelia, induit la formation d’anticorps contre la myéline, une protéine proche par sa composition et qui entoure les nerfs. Pour toutes ces raisons, la borréliose chronique peut être responsable de ces terribles maladies.

 4. Syndrome post-maladie de Lyme (ou « maladie de Lyme chronique » ou encore « post-Lyme »): quelquefois malgré un traitement antibiotique à dose efficace et précoce des patients se plaignent de symptômes résiduels comme des maux de têtes, des arthrites, des douleurs musculaires, une fatigue chronique, de la transpiration, des bouffées de chaleur, des engourdissements, des mouvements nerveux, des troubles de la mémoire, une perte de l’audition, une humeur variable, une dépression, des vertiges, des troubles du sommeil et une raideur cervical. Cela signifie que la borelliose est toujours présente à l’état chronique.

examen - radio - colonne
Le diagnostic repose d’abord et surtout sur les signes cliniques, mais les nombreux aspects de la maladie de Lyme sont souvent trompeurs. Dans tous les cas, il sera demandé des analyses de sang : la PCR est généralement élevée, mais ce sera surtout la sérologie de Lyme (test ELISA ou Western Blot) qui recherchera les anticorps contre la borrelia burgdorferi (avec dosage des IgG et des IgM) qui permettra le diagnostic lorsqu’il est positif. Mais, il existe un nombre important de faux négatifs. En effet, ces tests recherchent uniquement les anticorps de la borrelia burgdorferi, germe fréquemment en cause aux USA, mais nettement moins en Europe où sévissent d’autres types de borellia. C’est ainsi qu’on estime qu’il y aurait de 30 à 55% des faux négatifs à la maladie. Ainsi une sérologie positive est un élément affirmatif, mais une sérologie négative ne peut pas permettre d’éliminer formellement une maladie de Lyme.
Dr Luc Bodin
PS: Tic-Tox, Citrabase, cardère, griffe du chat, sont en vente dans le laboratoire Nutrivital : 4 rue Foch – 67450 Mundolsheim - tél : 03 88 069 11 33

Prévention de la maladie de Lyme

La prévention de la maladie de Lyme est la meilleure solution contre cette maladie difficile à diagnostiquer et à traiter. Elle consiste à prendre certaines précautions lors des déplacements dans la nature (forêt, clairières, sous-bois) en zone contaminée :

- utilisation des chaussures montantes et fermées, de chaussettes, voire de pantalon fermé dans le bas (ou mis dans les chaussettes).

- Eviter si possible, les zones humides, les fourrés, les hautes herbes…
nature - forêt 2

- Utilisation de répulsifs (DEET, IR 35/35 et citrobiol) appliqués sur la peau ou sur les vêtements. Mais leur emploi n’a qu’un effet limité sur les acariens (tique). De plus, ils sont quelquefois toxiques sur la peau. A noter que l’IR 35/35 est le seul autorisé chez la femme enceinte ou susceptible de l’être.
- Il faudra penser à inspecter minutieusement ses vêtements et son corps (surtout les jambes et les bras) à son retour de promenade afin d’extraire précocement la tique si besoin. Car le risque de la transmission de la maladie augmente avec le temps de la fixation de la tique contaminée. Il atteint 100% après 72 heures.

- Ne pas arracher la tique avec ses doigts, car il est possible de laisser la tête de la tique en place. De même ne pas utiliser de liquide (éther, pétrole, alcool…) pour enlever la tique.

- Pour enlever la tique, il est possible d'utiliser Tic-Tox (mélange de propolis et d’huiles essentielles) : mettre 2 gouttes sur la tique, elle est morte au bout de deux minutes, puis la retirer avec une pince à tique de préférence. Bien vérifier que la tête de la tique est partie. Ensuite, verser quelques gouttes de Tic-Tox sur une petite boule de coton que l’on placera sur la morsure pendant 2 heures pour la désinfecter et maintenir le coton avec un sparadrap. Renouveler l’opération trois fois par jour pendant 1 à 3 jours selon le temps de la piqûre la tique. L’avantage de ce produit est qu’il tue la tique, mais aussi les éventuelles borrelia transmises.
animaux abeille
- Dans certains cas (personnes fragiles, piqûre restée longtemps en place), il sera possible de discuter d’une antibiothérapie préventive. Consulter un médecin.

- En cas de signes évoquant la maladie de Lyme, ne jamais prendre d’anti-inflammatoire ou de cortisone, car alors les bactéries vont s’enkyster rendant le diagnostic et surtout le traitement beaucoup plus difficile (les antibiotiques ne pourront pas les atteindre). Une prise de paracétamol est par contre autorisée. 

Le bio-circuit

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Le bio-circuit



Le principe est simple pour ceux qui connaissent déjà la thérapie par la polarité : notre corps énergétique comporte un pôle négatif et un pôle positif. Haut/bas, gauche/droite : c'est l'alternance qui crée la contraction, la contradiction et le mouvement. Joignez momentanément les deux, et vous avez l'état (temporaire) de béatitude.
Un thérapeute de la polarité demande souvent à son client de s'étendre sur le ventre, puis pose les mains aux deux extrémités de sa colonne vertébrale, de façon à former une boucle. L'énergie monte alors le long de la moelle épinière du receveur, bifurque dans le bras du thérapeute, passe à son bras droit et revient par le bas de la colonne du client. Et ainsi de suite. De préférence, le thérapeute reste centré dans son hara : le point d'énergie, situé deux pouces sous le nombril, qui sert de centre de gravité aux praticiens du tai-chi, du shiatsu et des arts martiaux.
Le praticien n'est pas toujours indispensable. C'est ce qu'a découvert l'inventeur du biocircuit, l'Anglais Leon Eeman. Pilote de guerre dans les années 1920, il avait été victime d'un grave accident. Hospitalisé, il songea à l'imposition des mains : la guérison était avant tout un phénomène d'énergie, se dit-il, et le guérisseur se contentait probablement de rétablir une boucle d'énergie. Il créa le premier « circuit de relaxation » et passa le reste de sa vie (jusqu'en 1958) à soigner des malades.
La technique a gardé sa simplicité : il suffit d'étendre le corps sur les éléments du circuit. Mais depuis Eeman, les recherches ont permis de développer des variantes. Il y a le circuit de base, en cuivre, qui relie le sacrum à la main droite, et la nuque à la main gauche, le pied gauche étant posé sur la cheville droite. Il y a aussi le circuit symétrique de Lindemann : la nuque est directement reliée au sacrum, la main droite au pied gauche et la main gauche au pied droit. Eeman a également développé des « circuits coopératifs » où plusieurs personnes étendues sont reliées entre elles.
Les biocircuits sont faits de cuivre, de soie ou d'argent. Le cuivre donne des résultats immédiats et ne s'utilise qu'une demi-heure à la fois. Il convient aux traumatismes, aux cas d'épuisement, au décalage horaire, etc. Le circuit de soie, plus doux, a un effet plus subtil et plus prolongé : on peut s'en servir pour méditer ou pour dormir. Le nec plus ultra des biocircuits, fini argent, fournit une expérience plus constante et, dit-on, plus satisfaisante que les deux autres.
Comme la méditation et le yoga, par exemple, le biocircuit permet d'explorer les pulsations d'énergie qui nous traversent et de les équilibrer en douceur. C'est un outil pour qui veut refaire le plein après le travail, au bout d'une tâche ardue, ou durant une convalescence. Le biocircuit se prête bien à la méditation et à la visualisation.


Le maître spirituel Da Free John utilise les biocircuits depuis des années - il les appelle les « écrans de prânayâma ». « Nous devons sentir et percevoir, dit-il, que nous, ainsi que ceux auxquels nous sommes associés, sommes Radieux. Ce n'est pas une question d'imagination. C'est vrai. Si vous vous mettez à douter et que vous voulez prouver que vous êtes de l'énergie, utilisez des écrans de prânayâma pendant quelques minutes. Ils vont vous faire sentir que vous êtes un champ d'énergie. L'énergie circule dans vos mains, vos doigts, votre dos, votre tête. Vous découvrirez que vous pouvez changer vos sensations en détournant ces courants...
En utilisant les écrans de prânayâma, vous créez un circuit qui est différent de ceux que créent vos tensions. Le corps reçoit ainsi des énergies dans des zones qui ont été fermées et vous acquérez un sentiment d'équilibre et de régénération. Mais vous commencez également à remarquer quelque chose : vous êtes énergie. C'est très important. Vous finirez par le remarquer sans utiliser les écrans. Vous commencerez à goûter à une telle sensibilité corporelle aux courants d'énergie que vous entrerez à chaque moment dans la bonne relation avec ces énergies. Vous goûterez la capacité de transcender vos circuits négatifs et à vivre dans un état de plénitude d'énergie dans tension. »
En plus d'être disposé à relaxer, il est essentiel de bien installer les éléments du biocircuit : si on inverse les pôles, le circuit amplifie la sensation d'épuisement et d'irritabilité, et on obtient tout le contraire de ce qu'on désirait... L'association d'un phosphène à ces séances de relaxation devient alors très enrichissante.
Il est très facile de se procurer le bio-circuit sur internet. Plusieurs sites spécialisés présentent ce genre de produit suivant différents modèles au choix.

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Modèle de base nuque et bas du dos

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Ensemble complet


Il est cependant très facile de s'en fabriquer un soi-même pour un coût très modique. Il suffit pour cela de se procurer dans un magasin de bricolage une plaque et un tuyau de cuivre ainsi que des fils électriques


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La plaque et le tube de cuivre

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Les plaques et tubes reliés par des fils

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Installation avec lampe à phosphène


Témoignage 1
À première vue, on dirait des serpents métalliques dont la queue se terminerait par un carré de treillis. Mais, bon, ce ne sont que deux câbles de cuivre recouverts de plastique, comme il en sort des haut-parleurs, sauf que ceux-ci sont assortis de poignées cylindriques. Suivant les directives, je m'allonge en plaçant l'un des carrés de treillis sous le bas de mon dos, et je prends sa poignée dans ma main gauche. Je pose ensuite l'autre carré de treillis sous ma nuque, et je prends sa poignée de cuivre dans ma main droite. Je croise le pied droit sur le pied gauche, et j'attends.
Parfois, il ne se passe rien de rien. Parfois, je glisse en douce dans un sommeil léger. Parfois, hop, j'ai cet étrange sentiment de redevenir entier, comme si mon corps et mon énergie se fondaient dans une même boule de paix et de tranquillité, et moi, tout à fait calme, détaché et bien dans ma peau, je ne suis qu'un témoin. Les biocircuits ne finiront jamais de m'étonner.
koundalini

Bio-circuits de Eeman


Bio-circuits de Eeman

Description de bio-circuits de Eeman selon l'écoute imaginaire

Bio-circuits de Eeman : Selon l'approche de l'Écoute Imaginaire

Léon Eeman, pilote de guerre durant les années 1920 et victime d’un grave accident, songea à l’imposition des mains pour améliorer sa santé et celles des autres. Puis il eut l’idée de développer des circuits conçus à partir de plusieurs petits rectangles de cuivre tissés pour régulariser l’énergie dans le corps, d’une façon similaire à l’imposition des mains. Devant le succès de ces circuits, Eeman passa le reste de sa vie à soigner des malades à l’aide de ceux-ci (jusqu’en 1958). Sa technique consiste à utiliser des petites trames de cuivre situées d’une façon précise sur le corps, connectées par un fil de cuivre à des cylindres de cuivre que l’on tient dans nos mains afin de produire une circulation énergétique dans tout le corps et soulager les personnes malades (voir photo p. 16). Eeman observe que les personnes qui utilisent ses circuits ressentent : une relaxation musculaire, une sensation de chaleur, de bien-être, un pouls plus lent et fort, une respiration plus lente et plus profonde, un abaissement de la pression sanguine si elle tend à être haute, une augmentation de la salivation et de la gravité de la voix, etc.
Extrait du livre : Une santé de cuivre de Sylvain Bélanger, Édition Quintessence, 2003
 
Copyright 2008, Sylvain Bélanger, Écoute Imaginaire, www.ecouteimaginaire.com, Montréal, Québec, Canada

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Source: http://www.ecouteimaginaire.com/bio-circuits-de-eeman/bio-circuits-de-eeman.html

Le bio-circuit d'Eeman

Le bio-circuit d’Eeman est un système très simple et pourtant très efficace basé sur l’équilibre des polarités. Pour bien comprendre son mécanisme, il faut savoir que toutesles cellules du corps ont une polarité (charge positive à l’extérieur et négative à l’intérieur) due à une différence concentration ionique des milieux intra et extra-cellulaires. De la même manière, notre corps dans son ensemble est également polarisé avec un pôle négatif et un pole positif entre le haut et le bas, mais aussi entre la droite et la gauche.

Ce sont les inversions de polarité au niveau des membranes cellulaires qui créent par exemple l’influx nerveux ou les contractions musculaire. Et à l’échelon de l’organisme, les changements de polarité créent le mouvement… Et l’équilibre entre les deux polarités apportera la détente physique et psychique utile pour la réparation et la régénération du corps.


La technique d’Eeman consiste à relier grâce à des câbles généralement de cuivre : la région sacrée avec la main droiter les sites suivants :

http://www.kundalini-machine.com/bio_circuit.html

http://www.ecouteimaginaire.com/bio-circuits-de-eeman/bio-circuits-de-eeman.html

autrement des revendeurs existent également avec des prix très aléatoires.

Voir aussi le livre : « Une santé de cuivre » de Sylvain Bélanger, Édition Quintessence, 2003

Luc BODIN
Posté par bodinluc à 09:52 - Thérapies remarquables

Source: http://www.conseilslucbodin.com/archives/therapies_remarquables/index.html